14h: la flamme olympique a été rallumée!
Un manifestant pro-tibétain est interpellé par la police, au passage de la flamme. (AFP)
Minute par minute, le parcours de la flamme olympique à Paris et ses à côtés.
Libération.fr
LIBERATION.FR : lundi 7 avril 2008
14h. La flamme olympique, éteinte peu après 13h30 "pour des raisons techniques", a été rallumée peu après et est à nouveau portée par un coureur à l'approche du pont d'Issy-les-Moulineaux.
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13h50. La flamme a été éteinte peu après 13h30 "pour des raisons techniques", selon la préfecture de police de Paris, aux abords de l'immeuble de France Télévisions.
13h44. Les pompiers interviennent pour déloger le drapeau noir sur lequel des menottes figurent les anneaux olympiques, déployé au premier étage de la Tour Eiffel, côté pilier nord.
13h40. Un drapeau noir de quatre mètres, sur lequel des menottes figurent les anneaux olympiques, est déployé au premier étage de la Tour Eiffel. Au moins trois personnes se trouvent dans la structure métallique juste en dessous du premier étage, entre le pilier nord et le pilier ouest. Les individus ont profité de la pause des agents de sécurité pour escalader l'édifice et déployer leur drapeau.
13h32. La flamme remonte dans le bus, sous haute protection. Après l'ancienne athlète Marie-José Pérec, qui devait porter la torche mais en a été privée, c'est au tour du tennisman Arnaud Di Pasquale d'attendre en vain la flamme, qui reste bloquée dans le bus à la demande des Chinois.
13h15. Mireille Ferri, la vice-présidente Verte du conseil régional d’Ile-de-France, est interpellée alors qu'elle se dirigeait vers le Champ-de-Mars munie d'un extincteur pour manifester sur le passage de la flamme olympique.
13h09. Après de nombreux incidents entre forces de l'ordre et militants pro-tibétains, la flamme olympique monte dans un bus de la sécurité et le relais à pied est interrompu. La torche se dirigeait, sur la rive gauche de la Seine, vers Issy-les-Moulineaux. Cette interruption s'est produite lors du deuxième relais à environ 200 m de la Tour Eiffel alors que le cortège avait quitté le périmètre de sécurité dressé à proximité du monument.
13h02. Quatre hommes ont été interpellés par la police peu après 12h30 sur le parcours de la flamme alors qu'ils tentaient de ralentir la progression de la torche. Deux hommes, pro-Tibétains, qui brandissaient un drapeau tibétain et tentaient de s'installer sur la chaussée avant le passage de la flamme, ont été interpellés par la police. Quelques minutes plus tard, deux militants de Reporters sans frontières ont tenté de sauter par dessus les cordons de policiers pour atteindre la flamme qui était à 3 mètres d'eux.
12h59. Tout au long du parcours que doit emprunter la flamme, des hommes et des femmes tentent de s'allonger sur la chaussée, mais sont aussitôt délogés par la police avant l'arrivée du cortège. De nombreuses bousculades émaillent la progression du cortège qui doit parfois s'arrêter. Un homme en fauteuil roulant a été renversé, mais n'a pas été blessé.
12h55. La flamme est accueillie par les huées de centaines de manifestants réunis près de la Tour Eiffel, qui scandent "Liberté en Chine et au Tibet". Une partie de ces manifestants, réunis à l'appel de l'association Reporters sans frontières (RSF), jettent vers le convoi officiel des drapeaux distribués par cette association, représentant les anneaux olympiques transformés en menottes.
12h50. Quelques heurts opposent des manifestants à d'autres qui brandissent des drapeaux rouges de la Chine populaire. Les manifestants ont auparavant tenté de s'installer sur la chaussée, à quelques centaines de mètres de la Tour Eiffel d'où est partie la flamme olympique, mais ils ont été repoussés sans ménagement par les forces de l'ordre.
12h45. Les porteurs de drapeaux tibétains, qui voulaient manifester près de la tour Eiffel d'où la flamme olympique est partie, ont été priés par la police de partir ou de ranger leurs drapeaux. En revanche, les drapeaux français et chinois sont autorisés.
12h43. Quai Branly, un policier arrache un fanion de RSF des mains d'une Vietnamienne. Les policiers arrachent également les fanions RSF brandis par un groupe de militants du Mouvement démocrate (MoDem). Leur chef de file à Paris, Marielle de Sarnez, réussit à conserver son drapeau en mains et s'écrie: "Dans quel pays sommes nous pour qu'on confisque un drapeau dans une manifestation pacifique", affirmant que "la France s'honorerait à parler plus fermement du Tibet".
12h40. Des Tibétains sont refoulés par la police tandis que des manifestants pro-chinois agitent des drapeaux de la République populaire de Chine. Des groupes scandent "Libérez le Tibet !" ou "Sarkozy boycott".
12h30. L'ancien athlète Stéphane Diagana donne à la tour Eiffel le départ du parcours de la torche olympique encadrée par un important dispositif de sécurité.
12h15. La flamme olympique se trouve dans une lanterne de sécurité au premier étage de la Tour Eiffel, d'où elle doit entamer son parcours à 12h35. Trois responsables du comité d'organisation des JO se relaient sur l'estrade d'un salon de réception de la Tour Eiffel pour porter une petite lanterne dans laquelle brûle la flamme.
12h. Plusieurs centaines de manifestants pro-Tibet, certains vêtus de robes couleur safran, sont rassemblés sur le parvis des droits de l'homme, près de la Tour Eiffel. Une banderole de quinze mètres de long proclamant "Pour un Tibet libre" a été déployée. Une autre, en rouge, est barrée de l'inscription "Pour un monde sanglant, bienvenue aux JO made in China". Deux manifestants portent des anneaux olympiques en fil de fer barbelé.
11h30. L'attaquant portugais du Paris SG, Miguel Pauleta, un des porteurs de la flamme olympique dans Paris, confie être "sensible aux droits de l'homme" mais ne veut pas pour autant faire du passage du flambeau "un truc politique". Quant à la situation du Tibet, le footballeur estime qu'elle est "difficile, mais moi, ce que je vais faire, c'est porter la flamme olympique, et ça c'est le sport".
11h. Sur le parvis du Trocadéro, une brève altercation oppose des manifestants pro-Tibet et un homme brandissant le drapeau chinois. Des manifestants ont invectivé l'homme, qui traversait le parvis des droits de l'homme, près de la Tour Eiffel, et ont tenté de lui arracher son drapeau. Des policiers en civil sont rapidement intervenus pour s'interposer. Et l'homme de lancer: “JO, esprit sportif".
10h45. Plusieurs dizaines de manifestants commencent à se rassembler au Trocadéro. Une banderole de quinze mètres de long proclamant "Pour un Tibet libre" est déployée sur le parvis des droits de l'homme.
13h44. Les pompiers interviennent pour déloger le drapeau noir sur lequel des menottes figurent les anneaux olympiques, déployé au premier étage de la Tour Eiffel, côté pilier nord.
13h40. Un drapeau noir de quatre mètres, sur lequel des menottes figurent les anneaux olympiques, est déployé au premier étage de la Tour Eiffel. Au moins trois personnes se trouvent dans la structure métallique juste en dessous du premier étage, entre le pilier nord et le pilier ouest. Les individus ont profité de la pause des agents de sécurité pour escalader l'édifice et déployer leur drapeau.
13h32. La flamme remonte dans le bus, sous haute protection. Après l'ancienne athlète Marie-José Pérec, qui devait porter la torche mais en a été privée, c'est au tour du tennisman Arnaud Di Pasquale d'attendre en vain la flamme, qui reste bloquée dans le bus à la demande des Chinois.
13h15. Mireille Ferri, la vice-présidente Verte du conseil régional d’Ile-de-France, est interpellée alors qu'elle se dirigeait vers le Champ-de-Mars munie d'un extincteur pour manifester sur le passage de la flamme olympique.
13h09. Après de nombreux incidents entre forces de l'ordre et militants pro-tibétains, la flamme olympique monte dans un bus de la sécurité et le relais à pied est interrompu. La torche se dirigeait, sur la rive gauche de la Seine, vers Issy-les-Moulineaux. Cette interruption s'est produite lors du deuxième relais à environ 200 m de la Tour Eiffel alors que le cortège avait quitté le périmètre de sécurité dressé à proximité du monument.
13h02. Quatre hommes ont été interpellés par la police peu après 12h30 sur le parcours de la flamme alors qu'ils tentaient de ralentir la progression de la torche. Deux hommes, pro-Tibétains, qui brandissaient un drapeau tibétain et tentaient de s'installer sur la chaussée avant le passage de la flamme, ont été interpellés par la police. Quelques minutes plus tard, deux militants de Reporters sans frontières ont tenté de sauter par dessus les cordons de policiers pour atteindre la flamme qui était à 3 mètres d'eux.
12h59. Tout au long du parcours que doit emprunter la flamme, des hommes et des femmes tentent de s'allonger sur la chaussée, mais sont aussitôt délogés par la police avant l'arrivée du cortège. De nombreuses bousculades émaillent la progression du cortège qui doit parfois s'arrêter. Un homme en fauteuil roulant a été renversé, mais n'a pas été blessé.
12h55. La flamme est accueillie par les huées de centaines de manifestants réunis près de la Tour Eiffel, qui scandent "Liberté en Chine et au Tibet". Une partie de ces manifestants, réunis à l'appel de l'association Reporters sans frontières (RSF), jettent vers le convoi officiel des drapeaux distribués par cette association, représentant les anneaux olympiques transformés en menottes.
12h50. Quelques heurts opposent des manifestants à d'autres qui brandissent des drapeaux rouges de la Chine populaire. Les manifestants ont auparavant tenté de s'installer sur la chaussée, à quelques centaines de mètres de la Tour Eiffel d'où est partie la flamme olympique, mais ils ont été repoussés sans ménagement par les forces de l'ordre.
12h45. Les porteurs de drapeaux tibétains, qui voulaient manifester près de la tour Eiffel d'où la flamme olympique est partie, ont été priés par la police de partir ou de ranger leurs drapeaux. En revanche, les drapeaux français et chinois sont autorisés.
12h43. Quai Branly, un policier arrache un fanion de RSF des mains d'une Vietnamienne. Les policiers arrachent également les fanions RSF brandis par un groupe de militants du Mouvement démocrate (MoDem). Leur chef de file à Paris, Marielle de Sarnez, réussit à conserver son drapeau en mains et s'écrie: "Dans quel pays sommes nous pour qu'on confisque un drapeau dans une manifestation pacifique", affirmant que "la France s'honorerait à parler plus fermement du Tibet".
12h40. Des Tibétains sont refoulés par la police tandis que des manifestants pro-chinois agitent des drapeaux de la République populaire de Chine. Des groupes scandent "Libérez le Tibet !" ou "Sarkozy boycott".
12h30. L'ancien athlète Stéphane Diagana donne à la tour Eiffel le départ du parcours de la torche olympique encadrée par un important dispositif de sécurité.
12h15. La flamme olympique se trouve dans une lanterne de sécurité au premier étage de la Tour Eiffel, d'où elle doit entamer son parcours à 12h35. Trois responsables du comité d'organisation des JO se relaient sur l'estrade d'un salon de réception de la Tour Eiffel pour porter une petite lanterne dans laquelle brûle la flamme.
12h. Plusieurs centaines de manifestants pro-Tibet, certains vêtus de robes couleur safran, sont rassemblés sur le parvis des droits de l'homme, près de la Tour Eiffel. Une banderole de quinze mètres de long proclamant "Pour un Tibet libre" a été déployée. Une autre, en rouge, est barrée de l'inscription "Pour un monde sanglant, bienvenue aux JO made in China". Deux manifestants portent des anneaux olympiques en fil de fer barbelé.
11h30. L'attaquant portugais du Paris SG, Miguel Pauleta, un des porteurs de la flamme olympique dans Paris, confie être "sensible aux droits de l'homme" mais ne veut pas pour autant faire du passage du flambeau "un truc politique". Quant à la situation du Tibet, le footballeur estime qu'elle est "difficile, mais moi, ce que je vais faire, c'est porter la flamme olympique, et ça c'est le sport".
11h. Sur le parvis du Trocadéro, une brève altercation oppose des manifestants pro-Tibet et un homme brandissant le drapeau chinois. Des manifestants ont invectivé l'homme, qui traversait le parvis des droits de l'homme, près de la Tour Eiffel, et ont tenté de lui arracher son drapeau. Des policiers en civil sont rapidement intervenus pour s'interposer. Et l'homme de lancer: “JO, esprit sportif".
10h45. Plusieurs dizaines de manifestants commencent à se rassembler au Trocadéro. Une banderole de quinze mètres de long proclamant "Pour un Tibet libre" est déployée sur le parvis des droits de l'homme.
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